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[Publi-rédactionnel] Face à une flambée des prix de l’immobilier depuis 15 ans et à la réticence des Français à payer des honoraires au pourcentage, toujours plus onéreux à mesure que les prix de vente montent, Equinimo a fait un choix pionnier en 2010 : celui de concilier les services immobiliers d’une agence immobilière haut de gamme à des honoraires fixes de 7900€. Pourquoi ce modèle se révèle d’autant plus efficace aujourd’hui et comment fonctionne-t-il ?
Cette année 2022 marque le ralentissement du marché parisien avec une baisse du prix au mètre carré de 1,2% sur un an, qui devrait se poursuivre pour atteindre -2,4% en juin selon les Notaires du Grand Paris. Parallèlement, les transactions se font plus nombreuses : +4% entre la période décembre/février 2020/2021 et  2021/2022. En petite couronne, l’heure est au ralentissement de la hausse des prix. Une configuration nouvelle donc, qui sème le doute auprès des vendeurs et qui soutient le positionnement du modèle hybride proposé par Equinimo, promouvant le calibrage fin des annonces et des honoraires raisonnables. David Cardoso, son cofondateur, nous explique : « une bonne vente se fait en attirant les acheteurs actifs au projet mûr, à même de proposer une offre au bon prix. Il faut donc se positionner vite, mais surtout bien, avec des annonces et un prix finement calibrés ».
Un positionnement clair qui se traduit à la fois en termes de services de qualité, avec la création d’annonces travaillées (photos haut de gamme professionnelles, visite à 360° systématique, rédaction transparente et objective) mais aussi une belle diffusion, sur les grands portails immobiliers comme sur les supports prisés d’acheteurs exigeants, à l’image de Propriétés Le Figaro. Cette conciliation entre services classiques et réactivité digitale permet de capter les bons acheteurs, actifs et réellement intéressés, de qualifier finement les visites et donc de raccourcir les délais de vente. Cerise sur le gâteau, les honoraires d’Equinimo sont fixes pour les biens en-dessous du million d’euros (7900€), et s’établissent à 2% du prix de vente pour les autres, ce qui permet aux propriétaires d’y gagner, même avec des prix du marché en baisse.
La question des honoraires fixes est essentielle à l’heure du ralentissement local de la croissance immobilière. Car face à la montée des taux d’intérêt et au spectre de la baisse des prix à Paris et en petite couronne, les vendeurs vont se montrer plus attentifs au coût des honoraires, qui peuvent varier du simple au quadruple. Ainsi, un appartement parisien vendu à 700 000€ procurera un net vendeur de 665 000€ avec une agence classique (5% d’honoraires), contre 692 100€ avec des honoraires fixes à 7900€. Côté services, la qualité n’est pas dégradée par les tarifs uniques dans le cadre d’un modèle hybride puisque c’est l’efficacité qui est en jeu, et non la suppression de certaines prestations, comme pour les agences digitales « low cost ». Chez Equinimo par exemple, Guillaume De Pelet, cofondateur, nous confie que « le service est considéré comme essentiel et se veut identique à celui d’une agence haut de gamme ». L’agence propose ainsi un interlocuteur unique et réactif, une estimation sur place, des photos professionnelles prises avant la diffusion, la création d’une visite à 360°, la rédaction professionnelle et transparente de l’annonce, sa diffusion sur tous les portails de qualité et enfin une disponibilité complète de ses agents, ce qui lui permet de fonctionner depuis 2010 sans vitrine, au bouche-à-oreilles, avec 76% de ses 8100 clients venus sur recommandation, et une notation de 4,8/5 sur Google par ses clients (430 avis).
La configuration du marché à Paris entraîne également une plus grande exigence des acheteurs, moins aptes à faire une offre au prix si celui-ci est légèrement au-dessus du marché. Pour bien vendre et obtenir une offre sans négociation, il faut donc définir le fameux « meilleur prix du marché ». Pour Guillaume De Pelet, il n’y a pas de secret mais beaucoup de données : « Nous réalisons une trentaine de transactions par mois, ce qui nous permet d’avoir des données chiffrées étoffées et précises, pour chaque quartier et rue de la capitale. Cette base de données interne est précieuse, puisque couplée à notre outil estimatif et l’expertise de nos agents qui prennent en compte les critères intrinsèques du bien (une vue, une hauteur sous plafond, une configuration), nous sommes capables d’estimer avec une très grande précision le meilleur prix de vente possible pour le vendeur, évitant ainsi l’écueil d’une négociation tripartite».
Fort de son expertise à Paris, Equinimo a décidé de s’implanter à Cannes et à Nice l’an dernier. Le marché immobilier y est différent du marché parisien puisque les prix poursuivent leur ascension, bien que plus doucement que l’an passé. Les délais de vente, eux, augmentent, laissant présager le retour de la négociation et l’importance de se démarquer en début de vente. Avec le modèle hybride d’Equinimo, l’agence souhaite donc séduire les nouveaux vendeurs, avides d’une vente réussie et au bon prix, mais également les investisseurs à la recherche de services de gestion locative dans la région, puisque le pionnier du modèle hybride va bientôt proposer cette prestation dans le sud.

* Ce contenu publi-éditorial vous est proposé par Equinimo. La rédaction du Figaro n’a pas participé à sa conception. 
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