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SOMMAIRE DE L'ARTICLE
Lorsqu’on rédige du contenu SEO en vue de se positionner sur les moteurs de recherche, le premier gestionnaire qui nous vient en tête est WordPress. Appelé CMS (Content Management System) ou gestionnaire de contenu en français, WordPress est le noyau phare de la création de site web et/ou de blogs.
Il apparait donc opportun de bien l’utiliser pour en tirer profit pour son SEO. Voyons ainsi une petite checklist des points à ne pas oublier lorsqu’on rédige un article optimisé pour WordPress couplé à l’utilisation d’un outil SEO indispensable.
Pour bien démarrer en SEO, il faut être capable de bien rédiger, d’optimiser ses articles et d’apprendre peu à peu les fondamentaux du SEO avec les techniques de la rédaction web. Inutile de chercher à tout savoir et ensuite de s’y mettre. Si vous savez rédiger, c’est déjà un bon point !
Il y a ensuite des éléments qui sont fonction de votre site comme l’ancienneté, le capital contenu et des aspects techniques qui sont aujourd’hui indispensables et actés en SEO. Avoir un site responsive design par exemple, le protocole HTTPS et un temps de chargement rapide sont des bases.
Votre thème WordPress doit être SEO friendly pour avoir un socle solide pour démarrer. Préférez ainsi les thèmes premium à ceux qui sont gratuits et souvent mal codés et/ou truffés de publicités aux bénéfices de leur créateur. De plus les thèmes premium seront suivis et mis à jour régulièrement. La plateforme à connaitre est Themeforest.
La solution SEO indispensable pour démarrer est sans aucun doute 1.fr. Un outil en ligne qui va vous guider dans l’optimisation de vos contenus en post-rédaction et après publication en vue de les optimiser ou encore de les réoptimiser.
Comme vous le savez, Google est un moteur très flexible, et qui change régulièrement pour s’adapter à la quantité de contenu partagé et aux différentes règles instaurées.
C’est pourquoi un article, même indexé en première position sur Google, ne sera jamais à l’abri d’être rétrogradé dans les SERPs. Il faut donc observer, analyser et optimiser vos contenus pour répondre aux différentes requêtes des internautes, qui elles-aussi peuvent évoluer.
L’outil 1.fr vous aidera, que vous soyez rédacteur SEO confirmé comme débutant en rédaction web, à trouver les meilleurs mots-clés rattachés au champ lexical de votre sujet ou de votre mot-clé majeur. Ainsi il vous suffira de sélectionner une partie des mots-clés proposés et de les introduire intelligemment dans votre contenu.
1.fr vous guidera dans tous ces aspects pour parvenir à un scoring parfait de votre article. La partie scoring vous offre potentiellement la possibilité d’être bien référencé. Viser un 100% est idéal mais tout dépend de la longueur du contenu, du sujet et de la pertinence des mots à introduire. Avec de la pratique et une certaine logique, vous pourrez parvenir à rédiger des contenus parfait sans aucunement les dénaturer.
Le but est de conserver une rédaction naturelle et d’avoir accès à des mots, termes, auxquels vous n’auriez peut-être pas pensé. La solution permet également de voir comment Google interprète votre contenu au niveau des champs lexicaux.
On peut voir ci-dessous sur la droite, que Google reconnait l’article comme traitant d’influenceurs et en second lieu de marketing digital et d’influence marketing. L’article original est ici : la recherche d’influenceurs
La liste de mots-clés proposés au centre sont ceux qui sont manquants et jugés pertinents, car retrouvés au sein d’articles similaires. En sélectionnant quelques mots provenant de cette liste, et en les introduisant au sein de l’article, son score, ici de 84%, évoluera. 1.r s’avère être indispensable quand on débute ou quand on est déjà confirmé en rédaction web.
On ne peut naturellement pas deviner les mots-clés utilisés par ses concurrents ou connaitre toute l’étendue du champ lexical du sujet traité.
Avant tout, sachez que vous pouvez opter pour 2 interfaces différentes au niveau du gestionnaire ; la partie rédaction de WordPress, accessible depuis le menu latéral gauche (Articles).
Soit la nouvelle interface appelée Gutenberg, où il question de gérer des blocs à la manière des builders de page, soit l’ancienne interface (que j’utilise) pour avoir une vue d’ensemble de son contenu. Si vous optez pour l’ancienne interface, il vous faudra désactiver Gutenberg à l’aide d’un plugin comme Disable Gutenberg.
Testez les 2 et voyez laquelle vous convient. L’ancienne est bien meilleure pour moi du fait que j’ai pris l’habitude de l’utiliser depuis de nombreuses années. De plus je préfère avoir une vue d’ensemble de mon contenu et ne pas être perturbé par des éléments de mise en forme dans la fenêtre de rédaction. C’est juste mon point de vue.
Dans un premier temps assurez-vous d’installer un plugin SEO qui vous servira de guide, mais aussi d’avoir un accès simplifié à la balise title de votre article et sa meta-description. Ce sont les éléments que vous voyez au sein des moteurs de recherche comme sur Google ci-dessous. Nous reverrons ces 2 balises plus bas.
Un plugin SEO vous permettra, outre d’optimiser ces 2 éléments, d’avoir un guide à suivre pour votre contenu. Vous pourrez voir l’occurrence des mots-clés, le coefficient de lisibilité, l’utilisation des verbes actifs ou passifs et de multiples indicateurs qui valideront ou pas votre contenu du point de vue de son optimisation.
Le plugin qui est le plus répandu chez les utilisateurs de WordPress est Yoast SEO. Cependant il faudra très vite relativiser sur les points qu’il soulèvera, car parfois ils ne seront pas toujours pertinent. De plus il ne fera pas de votre article un post parfaitement optimisé pour les moteurs de recherche. La qualité et la pertinence d’un post ne se mesure pas uniquement avec des outils. Il faut être capable de répondre à de réels besoins, tout en visant l’optimisation pour Google notamment.
Dans mon cas j’utilise le plugin SEOPress dans sa version premium. C’est une usine mais je peux avoir accès à une multitude de fonctionnalités et de réglages qui m’apportent beaucoup pour mon SEO. Il faut juste retenir que le vrai travail est délivré par le rédacteur web et non par l’outil.
Les points qui vont suivre peuvent être traités selon l’ordre qui vous convient, dés lors qu’ils sont validés avant publication. Il sera toujours possible d’y revenir par la suite pour améliorer l’optimisation de votre contenu.
La titraille sur WordPress est rattachée au langage HTML, où il est question de balises Hn (H1, H2… H6). Elle représente les différents niveaux de titre au sein de vos articles ; titres, sous-titres etc… Ces derniers permettent de fluidifier la lecture et de segmenter les points forts de votre contenu.
Les balises Hn sont considérées par Google, afin de mieux positionner vos contenus, mais elles ne font pas tout car c’est un ensemble qui amène à la pertinence et la qualité d’un article.
Vous accédez aux choix des balises depuis le menu supérieur via le menu déroulant qui indique « Paragraphe » et ensuite Titre 1 (H1), Titre 2 (H2) etc… La taille des polices employées est généralement plus grande en partant de la balise H1 jusqu’à la H6. Vous pouvez ensuite attribuer une couleur différente par titre pour permettre de mieux distinguer les sections de votre contenu.
J’utilise par exemple le bleu foncé de ma charte pour les H2 et un bleu plus clair pour les H3. Je souligne également au passage, les liens au sein de l’article en orange.
Le titre de votre article est par défaut une balise H1, donc rien à modifier ou à valider. Il s’agit du titre pour le visiteur de votre site, qui est différent du titre apparaissant sur les moteurs de recherche. Ce dernier peut être identique dans le cas où il n’est pas renseigné, ou s’il s’agit d’un simple copié/collé.
Si la balise H1 ou titre, peut être plus long (pas recommandé) la balise title apparaissant sur les moteurs de recherche, est quant à elle limitée en pixels (non en caractères comme cela est souvent rapporté). Néanmoins la H1 peut être récupérée comme titre dans les SERPs.
Chaque balise Hn est importante en SEO ! Oui il peut y avoir plusieurs H1 au sein d’un article même si on recommande de laisser la H1 pour le titre et de passer aux H2 pour les sous-titres. C’est juste une question de présentation et de hiérarchisation du contenu.
C’est votre article qui regroupe l’ensemble des sous-titres, les images et éventuellement différents liens et vidéos. La partie rédactionnelle c’est votre travail ! C’est ici que l’on soulève les notions de champ sémantique et champ lexical pour faire ressortir le point central de votre contenu.
Google doit correctement interpréter votre article pour bien le référencer, c’est pourquoi il est inutile de massivement répéter votre mot-clé majeur ; c’est sans intérêt depuis de nombreuses années déjà !
Il s’agit de brasser le champ sémantique et lexical du mot-clé principal et de faire ressortir la problématique traitée. Google fonctionnant avec des robots, ils ne peuvent qu’interpréter un contenu sur la base de sa rédaction et des points saillants, sans parler des liens internes / externes.
Il est toujours recommandé au sin d’un contenu, d’insérer un ou deux liens externes de sites populaires pour appuyer éventuellement des informations traitées, des chiffres ou encore une définition. Ensuite il faut également créer son maillage interne pour lier vos articles entre eux, tout en considérant l’ordre d’importance entre articles majeurs et secondaires.
On peut évoquer, quand cela est possible, de travailler en silos. Pour comprendre ce principe et celui du cocon sémantique au passage, lisez cet article : Silo SEO vs Cocon sémantique.
Le maillage est important en SEO et il permet au robots de Google de parcourir vos différents liens pour qu’ils continuent à bénéficier d’un bon référencement.
Le principe des backinks en SEO est l’un des meilleurs leviers pour renforcer son référencement naturel et gagner ainsi en notoriété. Acquérir des backlinks n’est pas simple, car il s’agit pour un site à forte autorité de vous citer dans l’une de ses pages en plaçant un lien qui renvoi vers l’une des vôtres.
Le principe d’autorité est alors simple à comprendre, plus on parle de vous, plus vous devenez populaire en gagnant en autorité. Pour Google c’est un élément important à considérer, car il permet de mieux positionner des sites en fonction des domaines référents qui le citeront.
On peut recourir également au netlinking pour acquérir des backlinks. C’est un levier payant mais avec l’intérêt de mener une stratégie en choisissant ses sites, les thématiques et le niveau d’autorité. Le budget à allouer est très variable et fonction de l’autorité des sites entres autres.
Les images de vos contenus devront être optimisées de 2 manières :
1. La compression des images : Il s’agit de réduire le poids de toutes vos images (image à la une et celles de l’article). Préférez le format .jpg pour les images ne nécessitant pas d’effet de transparence, et réduisez leur qualité tout en conservant un ratio qui ne les altèrent pas outre-mesure.
Votre audience doit être capable de comprendre vos images et de ne pas être perturbée par une éventuelle mauvaise qualité de celles-ci. Les images compressées selon la résolution adoptée, ne devraient pas excéder 50 à 70Ko.
2. L’optimisation des images : Il s’agit ici de renseigner les balises de vos images et éventuellement d’insérer des liens ou des informations diverses. La balise alt (la première) est à considérer en SEO car outre le fait qu’elle peut décrire l’image, il est recommandé d’y introduire un mot-clé ou plusieurs, en lien avec votre contenu. Pensez au moyen de retrouver votre contenu via une image. L’idée est de chercher à bien référencer vos images en fonction des requêtes saisies par les internautes.
L’attribut title à 2 fonctions ; la première permet de décrire l’image ou d’apporter un complément d’information qui s’affichera au passage de la souris. Dans un second temps (à vérifier) il serait lu par la synthèse vocale pour les personnes malvoyantes.
Le champ Légende peut servir à mettre des informations comme les crédits des images. Vous pouvez y mettre du code HMTL notamment pour rendre des liens cliquables. La taille de l’image peut être ajustée et vous pouvez la rattacher à un lien ou à l’image originale pour l’afficher dans un format plus grand si besoin.
Les étiquettes ou tags, permettent d’indexer un article sur divers mots-clés qui lui seront rattachés. Google peut les récupérer pour positionner un contenu ou une catégorie de contenu.
Le but premier est de permettre à vos lecteurs de retrouver facilement des contenus spécifiques. C’est pourquoi il est recommandé de ne pas mettre toujours les mêmes tags d’un article à un autre.
Elles sont accessibles dans la sidebar de droite sous « Etiquettes ». Vous pouvez mettre plusieurs étiquettes (mots ou série de mots) les unes à la suite des autres en les séparant d’une virgule.
L’image à la une est à optimiser comme les autres en terme de compression et de balises. Pour y accéder, cliquez sur « Définir l’image mise en avant » en haut à droite de la sidebar, son emplacement par défaut.
Vous aurez les mêmes champs comme indiqué ci-dessous. Je me sers ici du champ Légende pour indiquer la source de l’image libre de droit.
La balise title est le titre de votre article qui sera vu dans les SERPs, c’est à dire sur les pages des résultats du moteur de recherche Google entre autre. Elle peut être différente du titre H1 en vue de choisir un nouvel angle mais pas radicalement différent. Il faudra alors l’optimiser en fonction de sa taille qui est limitée, en considérant vos mots-clés.
Remarque : La balise title n’est pas toujours celle qui est choisie par Google pour illustrer votre post dans les SERPs, Google récupère parfois la H1. De ce fait, il faut toujours privilégier un titre court, impactant et surtout qui positionnera le thème central de votre article.
La balise title est limitée à 568 pixels ! On recommande une valeur moyenne de 60 caractères, mais ça peut être plus. Si vous optez pour un bon plugin SEO, vous aurez un indicateur pour vous alerter du nombre de pixel restant.
Ci-dessous vous pouvez voir que 60 caractères ont été atteints mais cela représente seulement 429 pixels sur 568 disponibles. On peut donc encore en mettre si nécessaire.
La meta-description est l’emplacement alloué à la présentation de votre contenu. Elle n’a pas d’incidence directe en SEO, mais une bonne meta-description encouragera au clic si un internaute hésite entre plusieurs résultats. Elle est limitée en pixels (960) comme pour la balise title.
La mise en gras de certains mots-clés au sein de votre contenu est un élément à considérer en SEO. Sauf qu’il existe 2 balises en HTML pour mettre le contenu en gras ; Strong et Bold. La mise en gras d’un mot se fait sous cette forme en HTML : <strong>mot-clé</strong> où strong peut être remplacer par bold. En l’occurrence c’est la balise strong qui est à utiliser en SEO, et c’est généralement ce qui est appliqué par défaut.
Pour le vérifier, il suffit de cliquer en haut de la fenêtre de votre de contenu à droite sur l’onglet Texte, et vous pourrez accéder au code HTML. C’est par contre ici qu’il faudra changer le strong en bold si vous souhaitez mettre du texte en gras sans le considérer du point de vue SEO.
Le strong s’utilise par contre avec parcimonie en fonction de la longueur de vos contenus. Il est inutile de mettre en gras tous les mots importants, mais de sélectionner les plus intéressants pour que Google interprète au mieux votre contenu.
En conclusion
Voilà une checklist SEO de points à considérer pour l’optimisation de vos contenus en vue d’obtenir un bon référencement. L’idée est de la suivre au départ jusqu’à ce qu’elle devienne un automatisme.
Au-delà ce sont des éléments techniques qu’il faut connaitre et les points tel que le maillage et le fonctionnement des algorithmes Google qu’il faudra approfondir.
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